C'est sous le désormais célèbre nogarlicnoonions que Anthony Rahayel s'est fait une deuxième vie et une nouvelle identité. Dentiste chirurgien prothésiste le jour, il se transforme la nuit et à ses heures perdues, vite retrouvées, en critique gastronomique, au Liban et à l'étranger. Une passion qui lui coûte cher, mais qu'importe, quand on aime, on ne calcule pas !
Boulimique, Anthony Rahayel l'est, pas de nourriture mais de détails. Devenu reporter gastronomique d'une manière improvisée, il a réussi en deux ans à s'imposer comme une référence dont les restaurateurs espèrent l'appréciation, un sticker qu'ils collent à leur porte, un label de qualité. « J'ai toujours aimé les détails », avoue-t-il, ce qui l'a poussé, depuis plusieurs années, à poster des photos sur un site qui porte son nom et réunir, dans un ouvrage paru en 2010, sous le titre « B. Lebanon », des clichés sur les folles nuits de la capitale.
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